Le lycée franco-argentin Jean Mermoz recrute un poste d'enseignant titulaire de la fonction publique française et trois postes en contrat local dont un poste administratif, un poste de responsable informatique et un poste de conseiller spécialisé en TICE.
La fin de l'année étant propice aux bilans, voici la restitution des enquêtes 2024 d'Expat communication, enquêtes que nous avons fait suivre tout au long de l'année.
Le 11 décembre 2024, Expat Communication a présenté les résultats des 4 enquêtes du Baromètre Expat Communication 2024 sur le thème : « Le tour de l’expatriation en 2024 ». Il est maintenant possible de retrouver cette cérémonie au Quai d’Orsay en replay, de découvrir les photos de l’événement et de consulter la brochure de synthèse des 4 enquêtes de 2024
Ce post, régulièrement mis à jour, est dédié aux actualités concernant l'enseignement du français à l'étranger. Un post sur les informations récentes susceptible d'évoluer au fil des publications.
Paru dans la revue des Français à l'étranger.fr, cet article s'intéresse au lancement de "Talents", une initiative de l'AEFE sur le recrutement du personnel de droit local dans les établissements homologués.
Voici un article de la revue des Français.press qui, à l'occasion de la journée mondiale des enseignants, interviewe Djamel Souiah, secrétaire général pour la partie « Hors de France » du syndicat SE-UNSA .
Journée mondiale des enseignants : le SE-UNSA et l'évolution des lycées français à l'étranger
Avec notre invité, on évoque notamment de la place des enseignants au sein du réseau scolaire français à l’étranger. Mais aussi de l’évolution de ce métier et de son statut. La question du recrutement est aussi abordée. Il semblerait également que les objectifs de l’AEFE (Agence pour l’enseignement français à l’étranger) ne soient pas en phase avec les revendications syndicales. Enfin quelle est la position de ce syndicat sur la nomination d’Anne Genetet au poste de ministre de l’Éducation nationale. Cette dernière connaît les Français de l’étranger, est-ce un atout ? Dans ce podcast Lesfrancais.press, c’est donc un véritable tour d’horizon, sans langue de bois, que nous vous proposons.
Tout comme nous l'avons commencé pour l'enseignement du français à l'étranger ainsi que pour la francophonie, nous inaugurons une nouvelle page consacrée cette fois-ci à la fiscalité pour les non-résidents et qui sera régulièrement actualisée au fil des informations qui seront publiées.
Voici un article de la revue des Français.press au sujet du serpent de mer qu'est l'imposition à la nationalité française.
Alors que Sophie Primas a martelé que la taxe à la nationalité française n’est pas un objectif lors de l’Assemblée des Français de l’étranger, qui s’est déroulée la semaine dernière à Paris, le jeudi 17 octobre en fin d’après-midi, la commission des finances de l’Assemblée nationale a voté quant à elle un nouvel amendement instaurant un impôt universel pour les Français ayant résidé au moins trois ans en France et vivant désormais dans des pays où la fiscalité est plus de 50% inférieure à celle de la France. Une disposition dont le patron du dit organe parlementaire, le député de La France Insoumise, Éric Coquerel, a avoué que la rédaction n’était pas correcte et qui sera donc remodelée mais qui démontre la volonté du Nouveau Front Populaire et du Rassemblement national de sacrifier les Français de l’étranger sur l’autel de la rigueur.
Écouter sur Facebook ces deux intervention de Yan Chantrel, sénateur des Français établis hors de France.
La première concernait la suppression de l’assujettissement à la CSG-CRDS sur les revenus du capital à l’ensemble de nos compatriotes établis hors de France.
La seconde considère, citons M.Chantrel, "l'amendement visant à étendre le bénéfice de la réduction d’impôt au titre des dons et versements aux œuvres aux contribuables non-, résidents. En effet, le bénéfice de cette réduction d’impôt est aujourd’hui strictement limité aux contribuables résidents, ce qui est une source d’incompréhension pour les contribuables établis hors de France, qui souhaitent par ces dons maintenir un lien avec la France et soutenir des causes qui leur sont chères."
Voici un post publié par la sénatrice écologiste Mélanie Vogel concernant la réduction d'impôts aux dons des non-résidents fiscaux.
Je suis heureuse de l’adoption de mon amendement visant à permettre aux Françaises et Français résidant hors de France qui effectuent des dons ou des versements au profit d’organismes d’intérêt général français de bénéficier d’une réduction d’impôt, au même titre que des résidentes et résidents fiscaux français.
Le programme FLAM (Français Langue Maternelle), initié en 2001, a pour objectif de permettre à des enfants français ou binationaux de suivre, dans un contexte extrascolaire, un apprentissage spécifique de la langue et de bénéficier d’un contact avec la culture française.
Les Rencontres Mondiales FLAM 2024 se sont déroulées à Paris du 11 au 13 octobre 2024, rassemblant les acteurs du réseau FLAM du monde entier autour d’un thème central : « L’avenir des FLAM à l’horizon 2030 ». Ce rendez-vous de trois jours a permis aux participants de réfléchir ensemble aux nouvelles perspectives pour l’enseignement du français langue maternelle à l’étranger, et de favoriser la collaboration et l’innovation dans ce domaine essentiel à la transmission du français aux jeunes générations.
Lire la suite sur le site de Français du monde-ADFE:
Tout comme nous venons d'inaugurer un nouveau type de post d'actualités consacré à l'enseignement du français à l'étranger, nous mettons en place un autre post dédié cette fois-ci au thème de la francophonie et dans lequel vous pourrez lire divers articles parus récemment.
Rapport sur la francophonie élaboré par le sénateur Yan Cantrel et la sénatrice Catherine Belrhiti.
Avec ma collègue Catherine Belrhiti, nous avons remis et échangé sur notre rapport sur la francophonie à Thani Mohamed Soilihi, Secrétaire d'État chargé de la Francophonie et des Partenariats internationaux. Nous avons partagé nos 17 recommandations visant à œuvrer en faveur d’une francophonie ouverte, attractive et volontariste. Parmi ces propositions, nous avons défendu notamment la mise en application concrète et financée d’un Erasmus francophone par l’Agence Universitaire de la francophonie ainsi que l'évolution du dispositif FLAM vers un programme francophone co-financé par les pays francophones. Nous avons partagé la nécessité de faire de la revalorisation du métier d'enseignant de et en français la Grande Cause de la Francophonie ainsi qu'une adaptation de la convention de l'UNESCO pour inclure le numérique dans la protection de la diversité culturelle. Suite aux annonces du sommet de la francophonie qui rejoignent plusieurs de nos recommandations, nous avons convenu avec le ministre d’une audition au Sénat afin de faire le suivi sur la mise en application de nos recommandations.
Lire dans le petit journal.com deux articles, l'un traitant des enjeux actuels de la francophonie, le second faisant le bilan du XIXème sommet de la francoponie qui vient de se dérouler à Villers-Cotterêts.
Le XIXe Sommet de la Francophonie s’est achevé ce samedi après deux journées de débats, tables rondes et discussions entre les 51 chefs d’Etat présents, et les représentants de 81 des 88 Etats-membres. « La Francophonie est un espace d’avenir », a rappelé Emmanuel Macron. Mais quelles sont les grandes décisions prises lors de ce sommet ?
Lire aussi dans la revue Les Français.press, un bilan du sommet de la francophonie.
Du 4 au 5 octobre 2024, la France a accueilli le XIXe Sommet de la Francophonie : une première depuis 33 ans ! Ce sommet réunissait les 88 États et gouvernements membres de l’OIF dans la ville de Villers-Cotterêts et à Paris. Pourquoi Villers-Cotterêts ? C’est dans ce château qu’en 1539, le roi François 1er a fait du français la langue officielle en France. Ce site historique accueille depuis novembre 2023 la Cité internationale de la langue français. Presque toute la famille francophone était réunie ce samedi lors de la conférence de presse de clôture. Le chef de l’État congolais, lui, avait quitté les lieux. Avec notre partenaire, TV5MONDE, nous avons construit ce bilan pour vous, les Français de l’étranger.
La revue électronique Les Français.press s'est entretenue avec Hélène Conway-Mouret qui nous fait un tour d'horizon actuel des actualités avec son regard sur les Français de l'étranger.
Sénatrice des Français établis hors de France, Hélène Conway-Mouret est l’invitée d’« En toute confidence ». La membre du groupe Socialiste, Ecologiste et Républicain au sein de la Haute assemblée, réagit, entre autres, sur la victoire de Donald Trump aux Etats-Unis. L’avenir de la Défense européenne est aussi abordé dans cette interview, des avancées existent. Entre liberté et diplomatie comment s’organisent les déplacements hors de France de notre interlocutrice du jour ? C’est aussi ce que nous avons voulu savoir. Enfin, notre diaspora, Français de l’étranger, semble encore mal connue, nous déclare l’ancienne ministre. Or, on se prive ainsi, selon elle, « d’une dynamique » pour notre pays. Retrouvez l’intégralité de cette interview dans ce podcast Lesfrancais.press.
Lire aussi le compte-rendu d'Hélène Conway-Mouret lors du dernier conseil d'administration de l'Institut français.
J’ai participé au Conseil d’administration de l’Institut français (IF). J’ai commencé par féliciter la vision de la présidente Eva Nguyen Binh et son équipe qui, par les choix réalisés, notamment son déménagement et la restructuration complète de l’organisation interne, ont permis de d’avoir un budget à l’équilibre pour 2025 et qui aidera l’IF à traverser la période actuelle particulièrement complexe avec des crédits en forte diminution.
Hélène Conway-Mouret, sénatrice des Français établis hors de France, a interrogé le Garde des sceaux au sujet de la délivrance des CNF, un sujet (et un problème) qui remonte très souvent lorsqu'il faut déposer un dossier pour faire une demande de ce fameux certificat, sorte de sésame afin de certifier la nationalité française.
J’ai interrogé le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Eric Dupond-Moretti, sur les difficultés relatives à la délivrance de certificats de nationalité française (CNF), de plus en plus fréquemment demandés par l’administration pour obtenir un titre, faire valoir un droit, ou tout simplement réaliser un acte essentiel tel que la déclaration de la naissance d’un enfant.
En mai 2024, j’ai interrogé le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Eric Dupond-Moretti, sur les difficultés relatives à la délivrance de certificats de nationalité française (CNF), de plus en plus fréquemment demandés par l’administration pour obtenir un titre, faire valoir un droit, ou tout simplement réaliser un acte essentiel tel que la déclaration de la naissance d’un enfant. Son successeur, Didier Migaud, m’a répondu indiquant que le service de la nationalité du tribunal judiciaire de Paris, compétent pour la délivrance des certificats de nationalité française, a mis en place un système lui permettant de prévenir les difficultés et d’accompagner au mieux les demandeurs dans la présentation de demandes en état d’être instruites.