Dans la semaine du 20 au 24 mars, le consulat général de France organise quatre missions pour recueillir les procurations des Français vivant éloignés des bureaux de vote.
Voici les dates et lieux:
Mardi 21/03 : Alliance Française de Posadas (Misiones) et Alliance Française de Rosario (Santa Fe). Mercredi 22/03 : Agence consulaire à Córdoba (Córdoba), calle Fray Luis Beltran y M. Cardeñosa, Barrio Poeta Lugones ( Bureaux du groupe Libertad). Mercredi 22/03 et jeudi 23/03 : Ambassade de France à Assomption (Paraguay).
Pour avoir plus d'informations ou de précisions, les personnes intéressées peuvent écrire à:
Lucie se présente en concert ce jeudi trois novembre à la Conversa (Boedo).
El jueves 3 de noviembre a las 20hs, Lucie Delahaye esta presentando en la Conversa (Boedo) el espectáculo intitulado "Bricoleur"con Chango Santiago y dos invitados Andres Rozo (arpa) procedente de Colombia y Miguel Valdiviezo (vientos) procedente de Perú. Se promete una noche ecléctica bien arriba con saya, guaracha, vals francés, polcas y chacareras! Lxs esperamos!
Lors d'un post précédent, nous avons pu lire toutes les difficultés qui attendent un Français de l'étranger désireux d'obtenir sa retraite via la convention bilatérale franco-argentine. Dans ce second volet, nous retrouvons notre témoin aux prises cette fois-ci avec sa demande de retraite française. On pourrait croire, dans un a priori quelque peu subjectif et suffisant, que les choses sont plus simples avec l'administration française. Loin s'en faut: il faudra bien vite se rendre à l'évidence que ce n'est pas du tout le cas.
La dématérialisation des démarches ajoutée aux restrictions budgétaires de ces dernières années sont, en partie tout du moins, passées par là.
J.Guillot
Six mois avant la date de mon 62ème anniversaire, j'ai décidé de commencer les démarches pour obtenir ma retraite française. J'avais déjà obtenu ma retraite argentine dans le cadre de la Convention [franco-argentine] et toutes mes démarches auprès de l'administration argentine avaient été extrêmement pénibles. En effet, l'administration locale avait mis deux ans pour traiter mon dossier et calculer correctement le montant de ma retraite. Par conséquent, je ne souhaitais absolument plus avoir affaire à elle pour demander ma retraite française.
Je pensais qu'ayant déjà mis à jour ma carrière dans les deux pays lors de ma demande de retraite, j'allais pouvoir faire les démarches sur le site Internet de l'Assurance Retraite où j'avais déjà un compte. Mais pour cela je devais me connecter via France Connect et ce fut un problème majeur car je n'ai pas pu obtenir d'identifiant ne disposant ni d'un compte Amélie, ni d'un compte sur le site des Impôts, ni de numéro de téléphone portable Orange... J'ai dû utiliser le site de la Poste et créer un compte sur l'Identité Numérique. Ce fut un véritable parcours du combattant car il fallait fournir un numéro de téléphone portable mais l'indicatif de l'Argentine ne figurait pas sur la liste des pays "acceptés", contrairement à d'autres pays sud-américains comme le Chili ! Pour pallier à cette situation, j'ai dû utiliser le numéro de portable d'une amie française.
Après plusieurs heures passées à essayer de réaliser la vidéo requise, de télécharger les photos des pièces d'identité et de contacter une amie en France qui me permette d'utiliser son numéro de portable pour y recevoir le code de sécurité envoyé par la Poste, j'ai finalement obtenu mon identifiant de l'Identité Numérique et ai pu accéder au site de l'Assurance Retraite pour commencer mes démarches afin d'obtenir ma retraite française. Ma joie fut de courte durée car au moment d'introduire mon adresse postale en Argentine dans le formulaire, un message m'a immédiatement informé que je ne pourrai pas continuer cette démarche sur le site et que je devais obligatoirement m'adresser à l'administration argentine !
Ayant décidé de ne plus utiliser ces services, j'ai pris contact avec celui des affaires sociales de l'Ambassade de France à Buenos Aires qui m'a fourni les coordonnées du "Corresponsal Nacional para Argentina" du "Polo de Relaciones Internacionales" de la CARSAT Aquitaine (1). J'ai finalement pu initier les démarches de ma retraite directement avec ce service car ma carrière dans les deux pays était déjà complète. Et ces démarches sont arrivées à bon port. Je bénéficie aujourd'hui d'une retraite argentine et d'une retraite française pour les années travaillées dans chaque pays.
Je suis convaincue que tous les problèmes auxquels j'ai dû faire face et qui ont généré des moments d'incertitude et d'angoisse ne se seraient pas présentés si la Convention mettait à notre disposition des interlocuteurs directs en France pour nous aider dans nos démarches administratives.
C'est à mon avis l'obstacle majeur de cette Convention.
1: La Carsat Aquitaine gère les dossiers des retraités français vivant en Argentine.
Ah qu'il est ardu le chemin pour obtenir sa retraite française lorsqu'on vit en Argentine! Bien sûr, la fameuse convention franco-argentine a permis une reconnaissance de la durée de travail effectuée dans les deux pays ce qui est un progrès indéniable. Néanmoins, de nombreuses françaises et français qui me contactent pour ce sujet me font part de leurs difficultés personnelles. Et chaque cas possède son lot de particularités! Voici le témoignage d'une de nos concitoyennes. Pour des raisons évidentes dans ce monde hyperglobalisé, nous avons préféré que ce témoignage reste sous le sceau de l'anonymat même si sa véracité ne laisse aucun doute. Il est d'ailleurs fort probable que les lecteurs de ce message s'y retrouvent...
J.Guillot
Je suis argentine et française, j'ai 62 ans et réside à Buenos Aires depuis 1997. J'ai étudié et travaillé en France pendant 15 ans avant de retourner vivre à Buenos Aires avec ma famille française.
À l'âge de 59 ans j'ai entamé les démarches pour obtenir ma retraite argentine en utilisant les conditions établies par la Convention de Sécurité Sociale entre la France et l'Argentine. A cette époque-là, cela faisait 15 ans que j'exerçais comme professeur au Lycée Jean Mermoz de Buenos Aires et le cumul de mes années de carrière en Argentine et en France allait me permettre de bénéficier de la retraite argentine à l'âge de 60 ans.
Une fois ma demande de retraite reçue et acceptée par l'administration argentine, celle-ci a mis 6 mois pour envoyer en France mon relevé de carrière argentin et demander mon relevé de carrière français. Lorsque l'administration française a répondu, personne ici ne m'en a informé. Après de nombreuses visites aux bureaux de l'administration argentine, avant la pandémie, un agent de l'administration locale m'a finalement expliqué que le formulaire utilisé par l'administration française pour transmettre mon relevé de carrière n'était pas au format réglementaire. Puis il m'a fait savoir qu'ils n'allaient pas réclamer le bon formulaire à l'administration française et que par conséquent tout mon dossier risquait d'être refusé par l'administration argentine si je ne prenais pas en charge moi-même cette situation !
N'ayant pas d'interlocuteur en France, j'ai réussi à contacter la personne en charge de mon dossier français grâce à une déduction logique qui m'a permis de "deviner" son adresse mél en consultant divers courriers qu'elle m'avait envoyés, sans malheureusement m'avoir jamais transmis son adresse électronique. Ma logique fut couronnée de succès et la personne en question a non seulement eu l'amabilité de me répondre sinon qu'elle m'a envoyé très rapidement le formulaire attendu par l'administration argentine. Je ne parlerai pas ici des difficultés auxquelles j'ai dû faire face avec l'administration argentine en rapport avec l'application de la Convention car ceci ne concerne plus la France. J'ai finalement obtenu ma retraite argentine deux ans après l'avoir demandée et ceci grâce à l'intervention d'un cabinet d'avocats.
Le parcours a été très très difficile et semé d'embuches, à mon avis parce que la Convention établit que les ressortissants français résidant en Argentine doivent obligatoirement utiliser les services de l'administration argentine pour constituer leurs relevés de carrière qui leur permettent d'accéder aux deux régimes de retraite. Il n'y a aucun canal de communication ouvert avec l'administration française dans le cadre des démarches administratives en lien avec la Convention. L'administration argentine est la seule à s'occuper des dossiers initiés en Argentine et n'a aucune responsabilité envers l'administration française sur leur état d'avancement.
Juan Buchet, correspondant de Radio France Internationale (RFI) en Argentine et directeur de Radio Cultura de Buenos Aires, depuis Paris, nous a envoyé ce message suite au décès de M. de Rochebouët dans lequel il lui rend un émouvant hommage.
Chau Jean-Édouard !
En la Cámara de Comercio e Industria France Argentine (CCIFA), que presidió durante 25 años, le decían “El Hombre”. Con cariño, pero sabiendo de sus exigencias. Porque sí, este francés afable, de eternos ojos sonrientes tras sus lentes, y de cuyos labios fluía una ligera y cómplice ironía, siempre de buen tono, que supo llevar de su idioma natal a su adoptado castellano, no sin perder la reconocible tonada de su lengua de origen, podía ser exigente. Debía serlo en Cave Extrême, la bodega boutique que fundó en los 90, después de dejar su cargo en una de las primeras casas francesas que le apostó a producir vino en la Argentina (Moët et Chandon), la primera, en todo caso, en crear aquí un espumante que se volvió luego en el país sinónimo del que se produce en la región de Champagne. Una Pyme, decía él, que debía dirigir pensando siempre en la calidad de sus espumantes, sin olvidar las contingencias de la economía tan particular del país que lo atrapó definitivamente, mujer e hijos mediante.
Pero la Cámara, pese a ser una estructura asociativa, debía manejarse internamente, decía también él, como una Pyme. De ahí, la exigencia del “Hombre”. Que no debió ser mala, porque contra viento y marea, y de crisis en crisis, la CCI France Argentine, la más antigua de las Cámaras binacionales del país, mantuvo y hasta aumentó sus miembros (hoy unos 500), y tuvo su peso político, durante la gestión de Jean-Édouard de Rochebouët.
A Jean-Édouard (“JER”), lo conocí en los 90, en un viaje de Carlos Menem a París, él en la delegación empresarial que acompañaba al Presidente, yo, como corresponsal que cubría la visita. Era entonces más discreto y reservado, pese a sus más de 190 centímetros de altura. Poco después, sería electo Presidente de la CCI France Argentine, y reelecto casi indefinidamente hasta que aceptó/decidió retirarse del cargo en 2018, no sin quedar vinculado a la Cámara como Presidente de Honor. Fue en esos más de 25 años de tormentas que hizo crecer la institución, a la vez que él afirmó su personalidad emprendedora y comunicativa, pero con la distancia suficiente como para no tomarse demasiado en serio. Siempre la sonrisa tras los lentes, la ironía en los labios. Y una copa en la mano. Copas que chocamos, hubo muchas. ¿Cómo no saber apreciar el buen vino, y aprender a hacerlo, a su lado? Un día me dijo: “Ya no hay revistas de vino de calidad en Argentina. Vos podrías hacer una. Buena, y sin “chivos””. De su parte, un halago y un reconocimiento. Se lo agradecí, pero había pasado quizás el tiempo de este tipo de revistas.
Después de la Cámara, institución asociativa, recordémoslo, que exige mucho, ad honorem, de quien ejerce la Presidencia, Jean-Édouard, siempre a la cabeza de Cave Extrême y de Atamisque (bodega a la que se había asociado y cuyos excelentes vinos creó), le encontró tiempo para ejercer otra Presidencia. Asociativa y ad honorem igualmente, y enteramente benéfica: la Fundación de Ayuda Mutua de los Franceses de Argentina (FEFA), de la que me alegro haber sido cofundador con JER y seguir siendo administrador. Pese a su enfermedad (que casi ninguno conocía), se dedicó a la FEFA con ahínco y mostrando su capacidad de manager en estos últimos años de pandemia en que nos tocó asistir a personas en dificultad con premura y en todo el país, pero asegurándonos siempre de la realidad del caso y del nivel de necesidad. Cuidando el dinero público. Pero como en una Pyme, como lo pedía Jean-Édouard, que analizaba personalmente cada situación.
Emprendedor con capacidad de liderazgo, conocedor de vinos y bon vivant, divertido compañero y buen amigo, abierto a la comunidad, hombre de cultura, figura eminente de la relación franco argentina, Jean-Édouard de Rochebouët fue una gran y buena persona. No dudo que su fe lo haya acompañado en sus últimos momentos y mitigado el dolor de la pérdida para su esposa Estela Ramos Mejía, sus hija e hijos Luisa, Gastón, Félix y Diego, nietos y allegados.
He y hemos perdido un amigo. Mis disculpas por el tono quizás excesivamente personal de esta despedida que escribí como homenaje a JER, pero estoy seguro que Jérôme Guillot, consejero de los franceses en Argentina y a traves del blog de Français du monde, no me desmentirá.
C'est à moins d'un click, ci-dessous, pour trouver toutes les informations de bases concernant l'Argentine depuis le site du ministère de l'Europe et des affaires étrangères.
Pour mieux aider les voyageurs à préparer leur déplacement à l'étranger dans le contexte de la crise sanitaire actuelle, le ministère des Affaires étrangères propose une nouvelle version de l'application mobile « Conseils aux voyageurs » depuis le 16 décembre 2021.
Les comptes rendus publiques des Conseils consulaires des bourses scolaires, de l'aide sociale et du dispositif STAFE qui se sont déroulés à Buenos Aires sont à votre disposition sur le site du consulat. Vous pourrez les consulter en cliquant le lien suivant:
Le site français International santé.com, spécialisé dans les comparaisons d'assurances expatriées francophones nous a contacté afin de publier un texte intitulé "La santé en Argentine" qui vous donne une vision très complète sur le système de santé argentin.
Le système de santé en Argentine
Il faut savoir que le système de santé argentin est considéré parmi les meilleurs d’Amérique Latine. Dans les grandes villes, les cliniques et hôpitaux ont une excellente réputation pour le niveau de soins apporté et le personnel compétent. Cependant, dans d’autres provinces, et notamment dans le Nord du pays qui est moins riche, la qualité des soins semble être incertaine et certains établissements se retrouvent en manque de personnel et d’équipements médicaux.
Il faut cependant comprendre cette réputation dans le contexte sud-américain plus global et non dans un contexte de système de santé européen. Les inégalités peuvent y être extrêmes et les écarts entre public et privé sans commune mesure avec ce que l’on connait.
Le système de santé argentin se fixe comme objectif premier d’être universaliste. Un article de la constitution prévoit que l’État garantisse un accès à la Sécurité Sociale pour tous ses habitants et même pour les étrangers dans les hôpitaux publiques.
En Argentine, l’organisme équivalant à la Sécurité Sociale est appelé ANSES (Administracion nacional de la seguridad social). Elle s’occupe des prestations familiales, de vieillesse, d’invalidité, de décès et de chômage. Le SRT (Superintendencia de riesgos del trabajo) quant à lui s’occupe des accidents du travail et des maladies professionnelles. La SSSalud (Superintendencia de Servicios de Salud) est l'organe responsable de la régulation et du contrôle des acteurs du SNSS (Sistema Nacional del Seguro de Salud) dont l'objectif est d'assurer le respect des politiques Nationales des prestations de santé établies dans la législation en vigueur.
Étant donné que l’Argentine est un système fédéral, le système de santé est décentralisé. En effet, l’assurance maladie publique est administrée à l’échelle provinciale et les soins de santé primaires sont généralement gérés de façon autonome dans chaque ville, en rapport avec le ministère de la Santé nationale.
On peut distinguer trois secteurs de la santé :
Le secteur public : L’assurance maladie fournit des soins de santé gratuitement à toute la population. Les soins médicaux ainsi que les soins hospitaliers, dentaires, de réadaptation et les transports médicaux sont conférés gratuitement. Seuls les médicaments font l’objet d’une participation de la part du patient à hauteur de 30 à 60%. Quant au patient hospitalisé, il doit participer au paiement de quelques médicaments. Les soins ambulatoires sont gratuits mais pas les médicaments.
Las obras sociales (caisses d’assurances des salariés) : Il existerait environ 300 caisses d’assurances des salariés en Argentine, elles couvrent exclusivement le secteur salarié et sont financées par les cotisations des employeurs et des employés. Ces caisses doivent garantir au moins aux salariés une couverture médicale minimale obéissant au programme médical obligatoire. En outre, elles ne peuvent exclure les antécédents médicaux des bénéficiaires.
Le secteur privé : Il faut souscrire à une assurance santé privée pour accéder aux soins du secteur privé. Environ 5% de la population opte pour ces assurances. Les assurances santé privées sont tenues de couvrir les mêmes prestations de santé obligatoires que lasobras socialeset peut offrir une couverture plus élevée dans le cadre du régime souscrit.
Les coûts médicaux
Le secteur de santé public confère à ses habitants affiliés à la Sécurité Sociale des soins gratuits, seuls les médicaments font l’objet d’une participation financière.
Les tarifs médicaux privés varient en fonction des provinces.
A cause des forts taux d’inflation en Argentine, beaucoup de médecins augmentent leurs honoraires. Un rendez-vous avec un médecin généraliste vous coûtera entre 15 et 20 euros, un rendez-vous avec un spécialiste entre 20 et 40 euros. Un dentiste vous prendra le même tarif. La pose d’un pivot ou d’une couronne peut coûter entre 200 et 300 euros.
L’assurance santé locale
Les étrangers peuvent souscrire à une assurance en Argentine pour bénéficier d'une couverture maladie privée avec des coûts allant de 40 à 50 dollars par mois pour les régimes de base et jusqu'à 100 dollars pour un régime plus complet. Vous n'avez pas besoin d'un visa ou d'un statut de résidence particulier: il vous suffit de présenter une pièce d'identité, choisir la formule qui vous convient et payer l'abonnement mensuel.
Évidemment, le niveau de soins auquel vous aurez le droit dépendra de votre âge, de vos antécédents médicaux, de votre budget et de vos besoins personnels. Sachez que toutes les assurances de santé privées en Argentine ne vous couvrent pas forcément dans tout le pays. Certaines formules d'assurance sont très localisées. Une assurance privée vous donnera aussi la possibilité de consulter librement tous les médecins en cabinet libéral inscrits dans cette assurance ou éventuellement être remboursé s'ils ne forment pas partie de ce cadre.
En outre, l'assurance santé privée ne constitue pas une garantie complémentaire, mais bien une alternative au système de santé public, permettant de pouvoir accéder si besoin à d'autres établissements de santé. Celle-ci vous permettra d'accéder aux établissements privés, et de bénéficier du remboursement de vos soins qui sont souvent onéreux.
Sachez que le concept de mutuelle en Argentine n'est pas le même que celui en France. Si vous êtes à la recherche d'une couverture médicale sur le territoire argentin, vous laissant le choix de vos médecins ou hôpitaux, ce n'est pas une assurance locale qu'il vous faut. Il vous faudra une assurance santé internationale.
Choisir une assurance internationale
En général, l'assurance santé internationale est la plus adéquate au mode de vie des expatriés. Ce type d'assurance vous permettra, en cas de problème de santé, de vous faire soigner dans un autre pays que l'Argentine.
Si vous êtes multi expatrié, cette assurance continuera de vous suivre tout au long de vos périples dans d'autres pays. Alors qu'une assurance locale sera valable localement uniquement.
Si vous êtes affilié à la Sécurité Sociale française, vous pourrez également opter pour la Caisse des Français à l'étranger + une assurance santé complémentaire.
Le choix de votre assurance santé dépendra de vos besoins personnels, la meilleure assurance pour vous ne le sera peut-être pas pour un autre expatrié. alors, afin de choisir la meilleure assurance santé pour vous lancer dans cette belle aventure, nous vous conseillons de prendre en compte tous les critères qui vous semblent importants.
Sachez que le concept de mutuelle en Argentine n'est pas le même que celui en France. Si vous êtes à la recherche d'une couverture médicale sur le territoire argentin, vous laissant le choix de vos médecins ou hôpitaux, ce n'est pas une assurance locale qu'il vous faut. Il vous faudra une assurance santé internationale