Le problème de la fermeture de comptes bancaires pour les Français vivant à l'étranger continue à être un problème sérieux pour les personnes, par exemple, touchant leur retraite française. Toutefois, il est dorénavant possible d'ouvrir des comptes en ligne.
Voici aussi, à l'initiative de Mélanie Vogel, sénatrice des Écologistes des Français.es établi.es hors de France, une information importante concernant la fermeture des comptes bancaires détenus par nos compatriotes vivant à l'étranger.
Un de ces comptes se nomme "France Pay", il est soutenu par de nombreux organismes dont la Caisse des Français de l'étranger (CFE) et la revue les Français.press.
Et, si vous êtes membre de Français du monde-ADFE, vous aurez droit à une remise de 20% lors de l'ouverture de ce compte.
France Pay est une nouvelle banque en ligne spécialement conçue pour les Français vivant à l'étranger. Cette initiative est le fruit d'une collaboration entre la Caisse des Français de l'Étranger (CFE), le groupe des Banques Populaires, Skiptax (détaxe française homologuée par les douanes françaises), et d'autres acteurs tels que Lesfrancais.press.
Lire la question écrite de Mathilde Ollivier, sénatrice des Française et des Français de l'étranger adressée au ministre Bruno Lemaire à ce propos.
Au travers d'une question écrite, j'ai souhaité rappeler l'attention de M. le ministre de l'économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique sur les difficultés d'accès aux comptes bancaires français depuis l'étranger et les clôtures unilatérales de comptes bancaires de Françaises et Français établi•es hors de France par les établissements. Retrouvez ci-dessous le texte complet de ma question.
Lire cette note de Mélanie Vogel, sénatrice des Français.es de l'étranger:
Lors des réunions régionales organisées avant la pause estivale, plusieurs élu·es des Français·es de l’étranger m’ont alerté sur les difficultés rencontrées par nos concitoyen·nes à l’étranger qui souhaitent bénéficier d’un compte bancaire dans un établissement français. En effet, de nombreuses banques refusent l’ouverture d’un compte à des client·es dont l’adresse n’est pas sur le territoire français ou qui n’ont pas de numéro de téléphone français.
A lire cet important message de Madame Conway-Mouret, sénatrice des Français établis hors de France où l'on peut lire que dorénavant, il est possible d'ouvrir un compte à la Banque postale.
Nos compatriotes résidant à l’étranger pourront désormais ouvrir un compte bancaire depuis leur pays de résidence.
Suite à mon courrier au PDG de la Banque Postale, ce-dernier m’a informée par lettre de la mise en place de la procédure permettant l’accès à un compte bancaire.Tous les Français, clients de la banque postale ou non-résidents fiscaux disposant d’un justificatif de domicile, d’identité et de revenus pourront désormais ouvrir un compte lors de leur séjour en France.
À partir du 13 juin 2022, les personnes qui ont demandé l’ouverture d’un compte bancaire et qui n’ont pas obtenu de réponse dans les 15 jours suivant leur démarche pourront se tourner immédiatement vers la Banque de France. Celle-ci désignera d’office une banque proche de leur domicile. Cette procédure est ouverte à toute personne résidant en France ou dans un État membre de l’Union européenne, à tout Français résidant à l’étranger et également aux demandeurs interdits bancaires.
La radio des Français dans le monde invite les membres de l'association Français du monde-ADFE à raconter leur parcours de vie en direct.
En partenariat avec cette radio, Français du monde – ADFE vous invite à partager vos parcours à l'étranger. C'est une belle opportunité pour mettre en lumière votre expérience, les activités de votre section ou faire découvrir vos engagements à un large public. Ce sont près de 10 000 auditeurs francophones qui écoutent quotidiennement ce média.
Voici le quatrième volet des enquêtes organisées régulièrement par le baromètre Expat communication. Il s'agit cette fois de parler du retour d'expatriation, sujet qui est souvent abordé dans notre blog.
Aujourd'hui, nous nous intéressons à l'expérience des expatriés lors de leur retour dans leur pays d'origine et de ceux qui envisagent un retour prochain. Nous souhaitons explorer les défis, les changements et les impacts sur la vie personnelle, familiale et professionnelle liés à ce retour. Que vous ayez déjà vécu cette expérience ou que vous vous y prépariez, votre participation est essentielle. Vos réponses nous aideront à mieux comprendre les réalités du retour après une période d'expatriation.
Les conseillers des Français de l'étranger élus dans les circonscriptions électorales distinctes de Buenos Aires et d’Asunción se trouvent dans une situation fort délicate. En effet, les cinq conseillers élus, quatre à Buenos Aires et un à Asunción, font partie de la même circonscription consulaire, Buenos Aires, englobant les affaires concernant l'Argentine et le Paraguay, si bien qu'ils doivent siéger dans les conseils consulaires concernant ces deux pays. Or, ceci pose un problème éthique important puisqu'ils peuvent être amenés à donner leur avis pour des personnes qui ne les ont pas élus puisque les circonscriptions électorales ne sont pas les mêmes. Cette situation bancale et incommode n'est pas nouvelle et ne satisfait absolument pas les conseillers actuellement élus dans ces deux pays quant à l'exercice de leur mandat. Elle a été expliquée à Mélanie Vogel, sénatrice écologistes des Français.es établi.es hors de France lors de sa visite en Argentine en septembre dernier. De retour en France, elle s'est inquiétée de cette situation auprès de la ministre chargée des Français de l'étranger. Voici son courrier.
J’ai interrogé la ministre déléguée chargée des Français de l’étranger après avoir été alertée, lors d’un déplacement en Argentine, sur la situation problématique du Conseil consulaire du Paraguay, qui a été fusionné avec celui de l’Argentine lors de la fermeture de notre poste consulaire à Asunción.
La nouvelle session de l'AFE vient de se dérouler les 14 au 18 octobre derniers à Paris. Vous pourrez accéder aux bilans effectués par les sénatrices Mélanie Vogel, Hélène Conway-Mouret et Mathilde Ollivier représentant les Français établis hors de France ainsi que du parti des Ecologistes.
J’ai eu le plaisir d’assister à l’ouverture de la 41e session de l’Assemblée des Français de l’étranger, qui se déroule du 14 au 18 octobre, et de revoir les conseillères et conseillers de l’AFE sur place à Paris. C’était également l’occasion de faire connaissance avec la nouvelle ministre déléguée chargée des Français de l’étranger, Sophie Primas, qui s’est exprimée devant l’assemblée lundi matin. Je lui adresse tous mes vœux de réussite dans sa mission au service des Français·es de l’étranger. A l’occasion d’un déjeuner organisé pour les parlementaires des Français·es établi·es hors de France, j’ai eu la possibilité de la sensibiliser aux dossiers qui nous tiennent à cœur (...).
S’est ouverte, lundi 14 octobre, au ministère de l’Europe et des affaires étrangères, la 41e session de l’Assemblée des Français de l’étranger pour cinq jours d’auditions et d’échanges au service de nos quelque trois millions de compatriotes établis hors de France. Lors de la séance plénière de la première journée, la nouvelle ministre déléguée chargée du commerce extérieur et des Français de l’étranger, Sophie Primas, a présenté ses priorités et les chantiers qu’elle entend mener. Accompagnée de Pauline Carmona, directrice de la DFAE, et Hélène Degryse, présidente de l’AFE, c’est la première fois qu’une session est encadrée par trois femmes, qui plus est d’expérience et de conviction, pour améliorer et défendre le quotidien des Français vivant à l’étranger. Un beau symbole qui met en avant l’importance croissante de la diplomatie féministe de notre pays.
La 41ème session de l’Assemblée des Français de l’étranger (AFE) a débuté le 14 octobre 2024 à Paris, marquant une journée riche en discussions et en enjeux pour les représentant•es des Françaises et Français établi•es hors de France.La séance s’est ouverte par le discours de la présidente de l’AFE, Hélène DEGRYSE, qui a chaleureusement accueilli les nouveaux et nouvelles élu•es et souligné les défis majeurs auxquels font face les Françaises et Français de l’étranger, particulièrement dans les zones de conflit.
Du 14 au 18 octobre s’est tenue la 41e session de l'Assemblée des Français de l'étrangerà Paris. Une semaine de travail pour rapporter, étudier, conseiller et recommander le gouvernement sur les questions concernant les Français et Françaises résidant à l'étranger.
Vous pouvez retrouver de façon détaillée lajournée de session plénière, les deux journées detravaux en commission, les restitutions de la commission des affaires sociales, celle de l’enseignement et celle du budget et des finances lors de la4e journée de jeudiet, enfin, les restitutions de la commission sécurité, celle des lois et celle du développement durable lors de lajournée de clôture.
On le sait, le calcul des indemnités pour le personnel enseignant en poste à l'étranger est un sujet constamment sur le feu car il dépend de la cherté de vie locale, du taux de l'euro face aux autres monnaies mais aussi de la politique de l'AEFE. A ce sujet, voici un message délivré par Mélanie Vogel, sénatrice écologiste des Français.es établi.es hors de France au sujet du mode de calcul de ces indemnités.
Il est possible d'écouter le dernier "Café Citoyen" en visioconférence organisé par Français du monde – ADFE le 21 octobre dernier, un café consacré à la prochaine élection présidentielle aux États-Unis.
La rencontre fut modérée par le président de l’association, François Boucher, et la vice-présidente Annie Michel, qui est par ailleurs conseillère des Français de l’étranger à New York. Cet événement a réuni Alexis Buisson, correspondant à New York pour plusieurs médias français et francophones (La Croix, Médiapart, Télérama, Le Point, La Tribune de Genève…). Ancien rédacteur-en-chef de French Morning (2011-2019), Alexis Buisson est l’auteur de la biographie « Kamala Harris, l’héritière » parue aux éditions de l’Archipel, récemment rééditée sous le titre « Kamala Harris, la biographie ». Il est aussi l’auteur de la newsletter « Le Caucus », publiée sur la plateforme Substack, et du podcast « C’est ça l’Amérique », disponible sur le site de La Croix. Il s’est rendu dans plusieurs swing states de ces élections : Géorgie, Michigan, Pennsylvanie et Wisconsin.
Accéder à la rediffusion dur le site de Français du monde-ADFE:
Sophie Spandonis, qui anime le Cercle littéraire et dont nous avons passé quelques informations dans ce blog, lance un nouveau séminaire intensif entièrement consacré à la question de la prononciation. Ce séminaire est destiné à un public de niveau intermédiaire et/ou avancé. Le but de cet atelier est d'expliquer clairement certaines bases de la prononciation à celles et ceux qui en ressentent le besoin. Commençant à partir d'une perspective "théorique" qui consiste à repérer les principales difficultés se présentant aux hispanophones, le séminaire mettra très rapidement l'accent sur la pratique à partir d'exercices ciblés. Le travail se fera en groupe très réduit de manière à ce que chacun.e puisse participer pleinement et se défaire de tous les doutes et les questions qui le.a démangent ! L'objectif est d'exercer son oreille et d'améliorer sa prononciation de manière à mieux comprendre et à se faire comprendre.
Le séminaire coûte 30000 pesos (3 réunions).
Deux groupes sont prévus :
Les mercredis, en virtuel (mais il pourrait devenir présentiel s'il se confirme que les participant.e.s préfèrent cette modalité) et les jeudis, présentiel (Parque Centenario, CABA).
Pour plus d'informations, contacter Sophie Spandonis à l'adresse qui apparaît dans l'image ci-dessus.
Comme vous le savez, la France et ses institutions sortent d'une situation politique terriblement complexe et rien ne dit que la formation du nouveau gouvernement sous l'autorité de Michel Barnier nous permettra de sortir de l'ornière. En attendant la suite des évènements, que l'on pourrait presque suivre jour après jour comme une "tele novela", la revue des français.press publie quelques points de vue intéressants portés par nos représentants au Sénat ou à l'Assemblée nationale.
Après 51 jours de recherche d’un consensus sur le nom du successeur à Gabriel Attal., ce jeudi, c’est via un communiqué très bref que l’Élysée a annoncé la nomination de Michel Barnier à Matignon. Sur les réseaux sociaux, les élus des Français de l’étranger, comme les autres, ont immédiatement commenté la désignation du 26-ème premier ministre de la Ve République. Si la gauche a fustigé le choix d’Emmanuel Macron, la droite s’est réjouie de la nomination d’un des siens quand le Rassemblement national (RN) a décidé d’adopter, pour l’heure, une position neutre. Les élus expatriés d’Emmanuel Macron ont, quant à eux, soutenu sans réserve l’arrivée de Michel Barnier à Matignon.